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21.11.2008

De la radicalisation du pouvoir

Photo AFP

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J'en reste pantois. Amer, fondamentalement écoeuré...

Les temps sont venus où le pouvoir euphorique ne connaît donc plus les limites qu'impose la décence démocratique et citoyenne.

Les matins bruns sont bien là et les jours s'annoncent difficiles.

Il faut absolument lire ici.

Un amical salut à Olivier Ertzscheid - que je ne connais pas -  d'avoir passé le relais.

Afin que les flics de la surveille ne perdent pas trop leur temps en vaines élucubrations et ne gaspillent pas outre mesure et à leur sale besogne les deniers du contribuable, je déclare ne pas être un leader d'opinion, n'avoir aucun étudiant où élève sous ma tutelle intellectuelle et n'avoir que très peu de goût pour la constitution de réseaux, considérant que les rebellions les moins organisées sont les plus explosives et ont une chance supplémentaire d'échapper à la frénésie paranoiaque de vos chiens de meute.

En plus, j'habite pas en France...

Blogueurs à vos claviers citoyens ! Qu'ils en chopent le tournis !


11:14 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

24.10.2008

Le Plaideur

CET HOMME FINIRA PAR PORTER PLAINTE CONTRE LA FRANCE ENTIERE

SI LE BON PEUPLE DE FRANCE, CELUI DE MONTAIGNE ET DE VOLTAIRE, NE SE RÉSOUD PAS

À LE METTRE ENFIN SUR LE BANC DES

ACCUSÉS...

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14:37 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

22.10.2008

The place to be et la Cour des miracles

pomme.jpegLa Pologne joue les grandes. Les grandes puissances libres et libérales, influente au cœur de cette bouffonnerie économico-financière qu’on appelle l'Europe.
Elle joue les grandes et bombe avantageusement le torse.
Je la comprends.
Quand on est un pays totalisant 40 ans de liberté seulement depuis Louis XV et Voltaire et que tout d’un coup on se fait riche et à la presque hauteur de ses grands voisins, qu'on a son mot à dire sur tout et son contraire, on perd le sens de la mesure.  Surtout celle de l’humain.
Abasourdie par 50 ans d’apathie collectiviste (salut à vous, vaillants communistes de France et d’ailleurs), on se jette à corps perdu dans ce qui semble être le chemin exactement inverse. Comme un mineur prisonnier des ténèbres de l’éboulement se jette sur le premier soupçon de lumière entrevu, celui-ci dût-il déboucher en enfer.

Alors ça construit, ça vend, ça échange, ça consomme, ça démolit à coups de bulldozers et ça élève à coups de grues des buildings/bureaux sur lesquels viennent se percher les grands vautours de l’espèce humaine réduite à son économie.
Le bonheur tel un charnier. The place to be.
Les journaux gloussent de plaisir et les revues - parfois françaises - n'ont de cesse que de dessiner et redessiner la croissance par un trait rouge qui monte, qui monte, qui monte, comme une bite prise d'érection débridée.
Le soleil brille. Y’a du fric dans les tuyaux branchés sur le ventre de Bruxelles et qui arrosent copieusement l’euphorie de la renaissance.
Quand les bourses du monde entier se dégonflent une à une, quand elles se font apparemment ce qu'’elles sont essentiellement, c’est-à-dire les baudruches d’un système conçu comme un jeu de hasard, les testicules de la Pologne restent puissamment gonflées. Toujours disposées à éjaculer de la richesse marchande plein la gueule de ses thuriféraires. Ou le cul, ça dépend dans quelle position on veut servir la grand messe du triomphe de la pacotille.

Mais je ne suis pas Polonais et j’ai déjà vu jouer ce bal vampirique. Deux atouts majeurs que je détiens là pour voir l’envers du décor.

Les couloirs des hôpitaux sont des Cours des miracles où s’entassent dans une attente anxieuse à la fois cent, deux cent, trois cent personnes atteintes de la plus terrible des maladies, celle qui vous bouffe, qui un poumon, qui un rein, qui la gorge, qui la tête, qui le nez, qui les seins,  qui les couilles, qui le tout à la fois.
Dans cette cohue immonde du désespoir, une femme sur son brancard, comme oubliée là, ne voit déjà plus rien et ses yeux blancs vacillent du plafond aux passants claudiquants, difformes, glabres, exténués.
Le service public ? Honni. Ca rappelle trop l’histoire récente. Tout aux mains de l’Etat, tout aux mains de bureaucrates avides et sans scrupules. Le peuple réclame qu’on s’occupe des maladies qui le tuent.  Le libéralisme répond qu’il est d’accord, qu’on va faire du fric avec tout ça, qu’il a pas le temps de subventionner ces niaiseries, qu’il a des routes, des ponts et des autoroutes à faire, parce qu’avec des routes, des autoroutes et des ponts on fait du commerce qui jute, alors qu’on va privatiser tout ce bordel….
Dehors, les feignants fonctionnaires qui vous laissent quatre heures ou cinq heures vautrés dans les couloirs comme des chiens à lécher vos souffrances et vos blessures !
Le peuple souffreteux applaudit des deux pattes.
Je gage cependant que le remède sera bien pire que le mal. Déjà, dans cette foule cacochyme aux abois et qui s’accumule dans la chaleur fétide des couloirs, je vois bien que les visages sont des visages d’ouvriers, de paysans, de coursiers, de facteurs, d’employés de grands magasins.
Les visages résignés de la plèbe.
Les grands de ce monde, eux,  doivent emprunter d’autres couloirs, frapper à d'autres portes. Capitonnées.
La main sur le cœur, je veux dire dans la poche intérieure de leur veston, là où palpitent, quoique discrets, des écus sonnants et trébuchants,  fruits de la croissance.

Mais quoi attendre d’autre des hommes, qu'au final je me dis ?
Depuis que nous sommes des hommes, nous n’avons pris jouissance qu’à la source de nos propres erreurs.
La Pologne, comme sans doute tous les pays d’Europe centrale, s’est jetée dans la gueule d’un loup qu’elle voyait, depuis son enclos, depuis son rideau de fer, comme un agneau batifolant dans la libre prairie.

Une neige furtive, un vol des grands oiseaux de novembre, le sifflement batailleur d’un merle dans les halliers d’avril, m’auront finalement plus donné que toutes les suffisances humaines.

14:14 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

13.09.2008

OPIUM : LES OVERDOSES DU PEUPLE

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Photo AFP

09:04 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

24.06.2008

Les loups sont entrés dans laville

Lever le poing ne suffit pas. N'a pas suffi.

Nous l'avons tant levé sous des forêts de drapeaux noirs, l'espoir et le chant à nos lèvres suspendus.

Les loups sont entrés dans la ville.

Nos poings sont baissés, la gorge est serrée, toute honte bue et colère renfrognée.

De repos n'aurons que soient maudits du monde des humains tous les valets des valeurs les plus crades, tous les Hortefeux de la peste brune, les chiens galeux de la morale financière.

Divulguez, passez, donnez.

Faisons du net la voix citoyenne qui sort de terre, la partition à mille mains qui fasse trembler et douter les complots.

Tant qu'il y aura des hommes debout, d'autres, peut-être, ne tomberont pas tout à fait.

Grand roi, s'il advient qu'à vous faille,
(A tous ai-je failli sans faille)
Vivre me faut et suis failli.
Nul ne me tend, nul ne me baille,
Je tousse de froid, de faim bâille,
Dont je suis mort et assailli.
Je suis sans couverte et sans lit,
N'a Si pauvre jusqu'à Senlis;
Sire, ne sais quelle part j'aille.
Mon côté connaît le paillis,
Et lit de paille n'est pas lit,
Et en mon lit n'y a que paille.

Rutebeuf 

15:08 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

28.03.2008

Quelques évidences savamment occultées

1- La coexistence pacifique entre la planète, comme lieu de résidence des hommes, et l'idéologie de la croissance est absolument incompatible.
La lutte est permanente et ne ne peut s'achever que par la mise à mort de l'une des deux antagonistes.
Le développement durable n'est donc qu'une sorte de lapin exhibé de leur chapeau par les escamoteurs du capital en guise de modus vivendi capable de distraire l'attention et pour tâcher de camoufler un temps les douleurs de plus en plus stridentes de la contradiction.
Le développement du râble est un langage qui devrait être réservé aux éleveurs de lapins.

2 - Des hommes nouveaux et de bonne volonté devront un jour établir clairement que la croissance n'est nullement source de bonheur des hommes. Bien au contraire. Elle n'est qu'une condition sine qua non à la satisfaction des appétits de plus en plus voraces, exponentiels, du capital*. Ce que l'on veut nous faire avaler comme apparences de bonheur ne sont que les miettes parcimonieusement distribuées aux plus nantis et une assistance secourable consentie aux plus démunis.

3 - Ce qu'on appelle écologie n'est que - mais c'est beaucoup - le reflet idéologico-politique, récupéré et réducteur, d'une exigence première, atavique et fondamentale : l'occupation humaine de la planète.
C'est la seule préoccupation qui ait un sens. C'est une préoccupation de poète et d'artiste, au sens le plus fort, le plus subversif et le plus élargi de ces termes. 

4 - La mondialisation, concept sciemment flou, désigne en fait dans ses dernières extrémités, le jardin indispensable à l'âge d'or du capital.
Cette ultime mainmise sur la planète pourrait s'avérer être le point de basculement, tout comme chez Clausewitz l'effort consenti par le conquérant dans la guerre positive, lors de l'offensive à son point culminant, conduit à l'épuisement de ses forces-ressources, à la complexité grandissante de son organisation, bientôt à son effondrement.

5 - La survie d'un conquérant est cependant toujours fonction de ses nouvelles conquêtes, comme la sauvegarde d'un mensonge est toujours au prix d'un nouveau mensonge.
Les diverses tentatives de conquête de l'espace peuvent être lues comme la recherche de nouvelles richesses à extorquer au cosmos, de nouvelles poubelles à exploiter, voire d'intelligences à asservir.
En un mot comme en cent, comme le projet d'un recul encore plus lointain des clôtures de la croissance.
 
6 - Le drapeau américain flottant sur la lune vaut à cet effet quasiment acte de propriété. 
 
 * Petit exemple tout simple : En pologne, pays à  la croissance vertigineuse, la plus forte d'Europe, le taux d'intérêt pratiqué par les banques ne cessent de suivre allègremment la courbe de cette croissance, sous des arguments abscons comme seuls savent en produire doctement les banquiers du monde entier. Un peu comme quand le médecin vous annonce en latin la maladie dont vous souffrez....

15:25 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

15.02.2008

Quand le pouvoir goupille avec le goupillon

 1- Une sorte de Richelieu - le génie politique en moins - a déclaré avant-hier :

"Et jamais je n'ai dit que l'instituteur était inférieur au curé, au rabbin ou à l'imam pour transmettre des valeurs. Mais ce dont ils témoignent n'est tout simplement pas la même chose. Le premier témoigne d'une morale laïque, faite d'honnêteté, de tolérance, de respect. Que ne dirait-on pas d'ailleurs si l'instituteur s'autorisait à témoigner d'une morale religieuse ? Le second témoigne d'une transcendance dont la crédibilité est d'autant plus forte qu'elle se décline dans une certaine radicalité de vie.."

Voyons voir.....L'honnêteté, la tolérance et le respect ne sont pas des valeurs transcendantes ?
Bon, d'accord, mais - excusez-moi d'être emmerdant, Monsieur -  le laic, lui, dont la vie n'est point radicale, sa crédibilité est donc moindre ?

Et vous, vous êtes catho, je crois...Je veux dire, "je pense"...Parce qu'avec vous, le verbe "croire" on sait pas où ça peut mener...
Alors, donc, vous êtes catho ? Attention à votre radicalité de vie alors . Vous vous dirigez tout droit en enfer, diantre ! 

 2- A Rome, transcendé sans doute par la proximité de célestes chuchotements, le premier cardinal  de France - toujours sans le génie politique - avait déclaré :"Dans  la transmission et dans l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur"

Ca, c'est bien vrai.
Parce que l'instituteur, il arrive - pas souvent mais ça arrive des fois - qu'il soit de gauche. Et ça,  c'est très, très mal....
Mais vous devriez quand même, au moins une petite  fois, lire Nietzsche : " Ce qui est fait par amour est toujours fait par-delà le bien et le mal..." Vous verrez, ça se lit assez facilement. Si c'est bien traduit, bien sûr.

3- Et puis, se lâchant complètement, le cardinal avait assèné  d'éblouissantes contre-vérités, parmi lesquelles une perle à vous couper le souffle :

"Le drame du XXème siècle n'est pas né d'un excès de l'idée de Dieu, mais de sa redoutable absence."

Parce que s'il y avait eu excès,  il n'y aurait pas eu de drames ?  Relisez l'histoire, Monsieur, et tenez cette fois-ci votre livre dans le bon sens, bon sang d'bon sang!

Et puis, Monsieur le Président de la raie publique, (pas le poisson comme chez Bobby Lapointe, mais l'indicible raie),  je n'ai pas remarqué, distrait que je suis,  que Dieu s'était beaucoup absenté ...

Vous avez parlé aussi des Nazis qui avaient voulu créer un monde sans Dieu ? Savez-vous seulement que la boucle de leur ceinturon portait l'inscription : " GOTT MIT UNS " ?

ATTENTION ! Ce qui n'assimile en rien les religieux aux Nazis, (parenthèse prudente au cas où l'un de vos chiens de garde ensoutané me lirait et vous  conseillerait de porter plainte.) Ca se fait beaucoup en ce moment, de porter plainte, dans votre radical entourage.
Allez, je vais me coucher, tenez, et je me demande si je dois rire, pleurer de dépit ou bouffer mon chapeau devant tant de confusionnisme intéressé  et face à  l'irresponsabilité des 53 pour cent de gaulois crétins qui vous ont donné l'micro !

 

15:20 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : litterature |  Facebook | Bertrand REDONNET

14.01.2008

Quand il ne nous restera que la honte....

C’est pas du Zola et c’est pas du Dickens…
C’est arrivé hier....
Je ne connaissais pas cet homme.
Mais j’en connais des centaines d’autres.

 Il est vieux comme le monde, mon cri.
Mais il est.
Permettez-moi de le pousser un peu.
Pas grand monde pour l’entendre.
Je sais.
Un jour.
Peut-être.
Se mêlera à d’autres cris.

 Je ne connaissais pas cet homme.
Mais j’en connais des centaines d’autres.


Il est mort.

 Dans le froid et la nuit d’un bois de Vincennes, lamentablement  déchu de son fauteuil  roulant.
Celui que poussait d’ordinaire son ami d’infortune.
Aidons-nous mutuellement, comme dit l’Poète.
Sans abri, sans l’sou, sans étoile où reposer son oeil.
Cet homme-épave du grand paquebot capital, eut un jour un héritage,
Un jour....Environ 79 0000 euros..
Mais l’Etat était passé par là et les requins notariés avec...
17 907,20 euros qu’on avait consenti à ne pas lui voler !
Dilapidés dans le désespoir d’une vie sans espoir.
Il est mort, cet homme, dans la nuit froide des indignités humaines,
Parmi les hommes,
en 2008
et...
dans les palais flamboyants de la République des Johnny, le champagne est frais et le caviar circule..
Prince de mon cul, Sarkozy convole en fausses  et justes noces,
ça  amuse les cons qui ont aussi du champagne et du foie gras.
La République des Johnny se vautre dans la fange, vomit dans la luxure,
Place aux cons, les gros comme les petits...
Du fric pour les télés, du fric pour les gros salauds, du fric, du fric... et du christianisme
pour tout le monde....
J’ai honte...

 Coups de poing ? Fourches ? Rateaux ? Bêches ? Couteaux ? Haches ? Fusils ? Revolvers ? Kalachnikovs ? Tanks ?
Un jour...
Il faudra bien que la faim, celle des tripes comme celle des esprits, justifie les moyens...
Un jour.
Peut-être...

Quand il ne nous restera que la honte ! 

 

09:11 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : litterature |  Facebook | Bertrand REDONNET

18.09.2007

Si vis pacem, para bellum

ac29b8d6e3db74e1cacc80b016c57f6e.jpgDepuis quelque quarante années, on meugle à tout va, c'est de bon ton car on est pas des boeufs, ah, l'Europe, l'Europe, une idée géniale...Plus jamais de bruits de bottes et de canons sur le vieux continent...Ah ! Europe ! Europe !

Longtemps, j'ai moi-même meuglé de bonheur : Ah, Europe, Europe !

Assez !

Où nous emmène cette grande idèe ?

Voila qu'une fondation polonaise,"un concert pour Noel", fondation qui fait des choses bien, méritoires, honnie de l'intégrisme catholique qui, comme chacun le sait, s'octroie le monopole de la bonté, voila donc que cette fondation se voit refuser une subvention par Bruxelles...

Bof, tout le monde s'en fout, à vrai dire...MAIS il y a un MAIS :

Dans le même temps, un pilier de Radio Marya reçoit une somme considérable d'argent frais de cette Europe éclairée et donneuse de leçons pour subventionner...une école !

Je vous laisse deviner quels élèves sortiront promus d'un tel cloaque. Au programme : Antisémitisme, haine raciale, catholicisme inquisiteur et...farouche anti-européanisme.

Une Europe comme ça, moi, ça me donne envie de tirer la chasse d'eau !

15:40 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : litterature |  Facebook | Bertrand REDONNET