UA-53771746-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25.03.2013

Je vous salis ma rue !

PC291070.JPGPlus est veule l’époque, plus le rêveur est éconduit et plus il est éconduit, plus il a envie de rêver loin des miasmes de ses tristes congénères.
Dans ma revue de presse du lundi matin - j’en suis coutumier - je lis donc que les névrosés du triangle œdipien sont encore descendus dans la rue, cette imbécile de Boutin aux premières loges. Un bon éclat de rire en la voyant affalée comme un gros tas parce qu’elle a inhalé un peu de vapeur lacrymogène, pauvre chochotte. Trop marrant. C’est pas bon, hein, ma grosse ? Hé, hé, ces putains de flics ne savent même plus reconnaître les leurs ! Ou alors les flics socialistes seraient-ils devenus des thérapeutes ?
Le slogan en filigrane de toutes ces grenouilles de bénitier égarées dans la rue comme les crapauds hors leurs ténèbres humides, ne serait donc plus de coasser Je vous salue, Marie pleine de grâce mais Je vous salis, ma rue pleine de graisse !
Et puis, Copé qui se plaint de la brutalité des flics.  Alors, là, c’est le bouquet de la turpitude. Un mec à l'idéologie des plus brutales et des plus répugnantes, qui s’en prend aux gardes prétoriennes du système qu’il rêve de mettre lui-même en place pour casser du rêveur, du poète, du PD, du noir, de l’arabe, de l’anar, du fou, du différent !

Quand tous les rois Pétaud crient « vive la République »,
Que « Mort aux vaches » même est un slogan de flic ! *

Bravo, Brassens, tu voyais bien plus loin que le bout de ta pipe !
Ce qui est inquiétant quand même dans cette histoire de mariage homo - j’ai assez dit ce que j’en pensais - c’est l’acharnement de la vieille et chafouine calotte… Même en Pologne, réputée plus catholique que le pape chez les Français qui se croient intelligents, ils sont moins rétrogrades et poussiéreux dans leur tête. Vous imaginez Boutin ou Copé avec un transsexuel sur les bancs de l’Assemblée, comme c’est le cas ici ? Déjà qu’une ministre en robe fleurie leur fait vomir leurs grossiers fantasmes de cochons primaires ! Hé ben, ce serait du joli, tenez !
Ce qui est inquiétant aussi, c’est que tous ces cons, qui ont bien le droit d’être hétérosexuels comme je le suis moi-même avec un certain bonheur, se mêlent vraiment de ce qui ne les regarde nullement. Qu’ont-ils donc à faire que des gens du même sexe se caressent désormais abrités de l’opprobre par une loi ? Est-ce que ça va rendre plus misérables encore leurs orgasmes besogneux ? Est-ce qu’on leur demande, avec cette loi à la con, à lui, de coucher avec son voisin, et à elle, avec sa voisine ? Qu’est-ce que ça peut bien changer dans leur vie de peigne-cul ? Moi, qui m’en fous comme de l’an quarante de ce qui se passe au fond des grands draps blancs d’autrui, je ne vois là que bêtise crasse, méchanceté de psychopathes et volontés démentes de vouloir régenter à l'aune de leurs propres aliénations l'intimité des gens.
Pauvres types par milliers ! Faudrait quand même qu'ils s'avisent de penser un peu avec leur cerveau parfumé à l'encens, qu'après 2013 ans de diktats de leur morale scélérate, un peu d'alternance ne va pas les tuer. Hélas ! Adipeux et onctueux tortionnaires masqués, va !

Plus triste encore et dans un tout autre domaine : un ami a la gentillesse de me faire parvenir un article sur Debord exposé à la BNF… Hé ben ! Depuis le temps qu’il y a des gens qui disent avoir lu Debord, peu sont venus pour en tirer profit, à ce que je vois. Plus mort que ça, t’es vraiment au-delà de la mort.
Et puis, allez, encore un truc révélateur d’une inguérissable société. Mélenchon qui s’en prend aux Salopards de la finance - dit en ces termes, je suis bien d’accord avec lui - et aussitôt, hop, la meute aux abois qui crie à l’antisémitisme ! Tiens donc ? Curieux, ça. Hum… Très curieux, même. Bon. Je n’en dis pas plus. On me ferait fermer mon blog. C’est pas que j’y tienne comme à mes deux yeux, à ce blog, mais je hais les décisions coercitives. Surtout prises à mon encontre par des lobbys.

Rêve ! Rêvons ! Rêvez donc ! Non pas d'un monde meilleur, non, ça c’est vraiment de la foutaise, de la vraie bouillie pour chats d’appartement, mais à et dans notre monde, le nôtre, celui qui nous appartient en vrai, celui de l’individu sensible, la seule référence qui vaille, celui qui nous vient de nous et de notre histoire, de ceux que nous aimons, de ceux que nous protégeons et qui nous protègent, loin du tumulte dégoûtant des épouvantails de tout acabit !

Ce matin, l’hiver est encore là. Blanc sous le soleil et l’herbe au fossé que défrise le vent de l’est. Encore moins seize au mercure. Le printemps sera pour bientôt, vivons donc l’instant.
Mais je viens encore de perdre dix précieuses minutes à m'énerver contre l'indicible actualité d'un monde de plus en plus inactuel !

*Le vieux normand

11:47 Publié dans Critique et contestation | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

Commentaires

Evidemment que le procès en antisémitisme fait à Mélenchon par le PS est ridicule. (comme le PS) Moscovici et les sbires de la finance sont bien des salopards d'avoir laissé passer la motion permettant de piquer du pognon sur les comptes des chypriotes directement.
Je vous suivrais sur Boutin et le mariage gay si, comme votre billet le laisse entendre, les opposants n'étaient que des peines à jouir et des homophobes.(caricature, quand tu nous tiens...)
Que Cameron ait adopté aussi cette loi devrait d'ailleurs alerter : Bernays, fondateur de la propagande est arrivé, sous la pression de Lucky Strike, à faire fumer les femmes en leur faisant croire aux "torches de la liberté". Ce n'était qu'une question de marché. Le marché de la procréation assistée, qui n'a pas avec les hétérosexuels stériles suffisamment de clients, demande cette réforme parce que les gays et surtout les lesbiennes ont du pognon et seront preneurs (preneuses). La recherche a besoin de pognon. Cette loi est une vraie saloperie, vraiment. D'autant plus qu'on en vient à retoquer pour ça le code de la filiation de tout le monde. Et en France, c'est cette gauche merdique qui se charge de faire passer le truc.

Qu'il ne reste que l'Eglise (presque) pour résister à cette merde (Bergé et ses ventres à louer) en dit long sur l'état de déliquescence intellectuel en zone euro... La gauche française est calamiteuse, avec ses vieilles lunes. Nous sommes pris au piège de cette coalition socialo-libérale, et je crois que la propagande est si forte qu'il y a peu d'espoir

Écrit par : solko | 25.03.2013

Cher Solko, souffririez-vous de problèmes gastriques ? On peut se demander, à lire votre premier commentaire...
Pour le reste, si je n'ai guère d'appétence pour la gauche (qu'elle soit "socialiste" ou, encore plus, "mélanchoniste" - et pas plus que je n'en ai pour la droite - je ne vois guère de différence, fondamentalement), je me méfie toujours des généralités, surtout lorsqu'elles ne se basent sur rien. Comme celle du "les lesbiennes ont de l'argent". Ah bon ? Vous avez mené une étude auprès d'un nombre de couples lesbiens suffisant pour savoir le montant de leurs revenus et de leur patrimoine ? Je serais curieux de la lire...
Quant aux relents de bigoterie sur les "ventres à louer", ça me fait toujours rire (jaune). On loue à longueur de journées nos bras, notre cerveau, notre force, pour quelques cacahuètes, il n'y a rien là que de normal. Mais, dès qu'il s'agit du bas-ventre, là, tout de suite, horreur ! "Prostitution", "ventre à louer", que c'est terrible !
Mais vous avez tout à fait raison, il nous faudrait une bonne guerre pour mater ces salauds.

Otto Naumme

Écrit par : Otto Naumme | 27.03.2013

Solko : "Et en France, c'est cette gauche merdique qui se charge de faire passer le truc. " Je ne vois pas où est le problème, elle est justement là pour ça.

Écrit par : Le Tenancier | 25.03.2013

Bonjour Solko,
Nous savons l’un et l’autre ce qui nous oppose et nous savons aussi où notre « sensibilité du monde » peut se rejoindre, à tel point - il vous en souvient sans doute - que nous avions échangé une correspondance sur un blog collectif, il y a quelques années. Nous avons aussi, l’un comme l’autre, ce louable travers, grand fournisseur d’adversaires, de ne pas nous cacher derrière des boîtes d’allumettes.
Je vous concède donc que j’ai caricaturé, sauf pour Boutin, car là, la caricature, convenez-en à votre tour, eût été impossible. Cette femme étant déjà un archétype, on ne caricature pas une caricature...
J’ai par ailleurs forcé le trait, certes, mais qui ne le force pas quand il est dans la détestation épidermique, plus que dans la critique réfléchie ? Ceci étant dit, je n’ai pas écrit que les manifestants étaient tous des gens aux érections cacochymes ou des homophobes. Je ne l’ai pas écrit pour deux raisons : la première parce que je ne le pense pas, la seconde parce que, le fait serait-il avéré, que je m’en foutrais complètement, ne souffrant pour l'heure d’aucun de ces deux handicaps. J’ai donc dit - ou voulu dire - que manifester sur un fait de société qui relève de l'intimité sexuelle profonde et que ces connards de socialistes ont érigé en flambeau politique (n’en n’ayant guère d’autres à se mettre sous la dent) participait de cette vieille idéologie, que je tiens en une sainte horreur (voyez comme je n’ai pas peur des adjectifs) : celle de la famille triangulaire, issue pour une bonne part de la Sainte Trinité et, in fine, de toute la morale judéo-chrétienne.
Pourquoi pas, me direz-vous ? Avoir un père et une mère semble, pour le moins, bien naturel. Seulement, ce qui l'est beaucoup, beaucoup moins, naturel, Solko, ce qui ne l’est même pas du tout, c’est que le fait d’être, en tant qu'entité biologique, le fruit d'une rencontre fortuite d’un spermatozoïde et d’une ovule, n’entraîne que culturellement, qu’idéologiquement, que l’enfance soit encadrée et régentée par une femme-mère et un homme-père. C’est un schéma. Un parmi tant d’autres, voir les études ethnologiques de Malinowski, par exemple. Le schéma qui est le nôtre n’a pas pour fonction première la transmission de l’amour et n’est pas forcément le schéma protecteur par excellence : il a pour mission de transmettre et de présenter comme définitives et incontournables les valeurs sur lesquelles sont fondées les sociétés coercitives.
En s’opposant au mariage homosexuel, les manifestants ne s’opposent pas au mariage en soi - hélas ! sinon je les applaudirais des deux pattes -, mais au mariage qui remettrait en cause les chevilles ouvrières qui maintiennent debout l’édifice social, pour le plus grand bonheur des curés, des financiers et des privilégiés de tout poil.
Vous souriez ? Vous vous dites sans doute : cet incorrigible anarchiste s’égare dans les amalgames ! Pourtant, prenez la cartographie sociale des opposants au mariage homo… Si vous la considérez honnêtement, il n’y a pas à s'égarer.
Je ne défends nullement ce mariage-là, comprenons-nous bien. D’ailleurs, vous le savez. C’est de la poudre aux yeux… Je ne défends aucun mariage, je les abhorre tous, seraient-ils le contrat civil entre un extra-terrestre et un terrien. L’amour encadré par une loi, c’est un cadavre donné en pâture à l'image sociale de l'amour. Et là où les manifestants défenseurs de la famille judéo-chrétienne se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au coude, c’est quand ils s’effarouchent de ce que les socialistes seraient en train de vouloir détruire ce magnifique atelier d’aliénations séculaires qu’est la famille. Bien au contraire : les généreux socialistes comptent le récupérer, cet atelier, au profit de leur détestable propagande et pérennité. L’élargir à leur clientèle. Comme l’autre imbécile de Lyon qui prétend pénaliser les putes et leurs clients ! Ceci dit, elle propose de scier la branche sur laquelle elle est assise, celle-là ! Un relent de culpabilité, peut-être...

Les cris de vierges effarouchées contre Mélenchon ne sont pas ridicules, Solko, hélas ! Comme la vérité sort de la bouche des enfants, elle sort parfois inopinément de la bouche des salopards qui, se sentant morveux, se mettent soudain en devoir de se moucher…

J’ai été un peu long sur le sujet, quoique encore trop court pour tout dire. Et Le Tenancier, que je salue au passage, dit une chose vraie (ça lui arrive des fois, si, si ) : la gauche est là pour faire passer des pilules soporifiques enrobées de modernité intellectuelle et généreuse. Les socialistes n’ont rien de socialiste. D’ailleurs, ils ignorent le sens profond de leur enseigne politique. Sans quoi, ils ne seraient déjà plus là. Ils ne sont que les chiens de garde(en alternance) du délabrement des consciences. Mais je ne vous apprends rien sur le sujet.

Écrit par : Bertrand | 26.03.2013

Le mariage n'a rien à voir avec l'amour.

Pour le reste...

Otto Naumme

Écrit par : Otto Naumme | 27.03.2013

Je ne dis pas que des conneries (je vous laisse terminer la phrase).

Écrit par : Le Tenancier | 26.03.2013

Suis d'accord avec vous sur le caractère coercitif du mariage et de tout acte notarié en général. Mais ce qui se profile à l'horizon est bien plus coercitif, avec le libre marché de la procréation que cette loi ouvrira en droit devant n'importe quelle cour européenne, et une fracture entre riches et pauvres élargie à la procréation. Sperme à vendre et ventre à louer, je suis peut-être un odieux réac là-dessus, mais ça passe pas. C'est une corruption des actes notariés devant laquelle la discrimination essentielle entre riche et pauvre (la seule qui existe au fond)est encore renforcée. En bref, coercition pour coercition, je préfère celle de la société chrétienne à celle du meilleur des mondes.

Écrit par : solko | 26.03.2013

Tenancier, j'avais, sur Niort, un bon copain, un chouette camarade, que la dive bouteille a emporté trop tôt au royaume des Gentils et qui disaient toujours : Faudrait voir à ne pas me prendre que pour un con (!)

Solko, nul besoin d'être réactionnaire et pas la peine non plus d'être un grand subversif révolutionnaire, pour être écœuré jusqu'à la lie devant le marché qui s'ouvre en filigrane derrière la parole politique, marché putatif que vous dénoncez avec juste raison.
Sperme à vendre ou sperme à ventre ?
Comme vous souligniez d’ailleurs avec raison qu'un Cameron adhérant à cette nouvelle donne devrait ouvrir les yeux à pas mal de "socialistes" de base, empêtrés dans leur naïveté intéressée, et à pas mal d’opposants empêtrés dans l'idée que toutes ces gesticulations sonneraient le glas de leur sacro-sainte conception de la famille.
Là où je ne vous suis pas, Solko, c'est quand vous dites : "En bref, coercition pour coercition, je préfère celle de la société chrétienne à celle du meilleur des mondes."
Et bien moi je dis qu'entre ces deux sociétés extrêmes, il y a une marge énorme : celle de la société des hommes et que la fin de la chrétienté ne signifie nullement l'avènement du chaos débridé. Bien au contraire.
Mais ce n'est pas pour demain, si tant est que cela advienne un jour. En tout cas, je ne me satisferai jamais d'une coercition, qu'elle soit de céleste inspiration ou qu'elle vienne des délires scientifico-politiques.

Écrit par : Bertrand | 26.03.2013

Le "mariage pour tous" serait donc une discrimination par l'argent... Bien, bien, bien...
Et la GPA, le "mal absolu". Ah ?

Je n'ai même pas envie de commenter la première assertion, faut pas commencer la matinée par la bile, on en gâcherait toute la journée.

Quant à la GPA, quelque part, je me marre... Parce que, depuis le temps que la "location de ventre", tel que certains l'écrivent, existe (depuis la nuit des temps humains, en gros), il aurait ptêt fallu s'en offusquer depuis un moment. Et ne pas attendre que cette possibilité soit proposée aux couples homosexuels (ce qui n'est pas encore le cas, rappelons juste que la GPA, tout comme la PMA ne fait pas partie du texte actuellement au Sénat...) pour "s'indigner". Parce que ça laisse fortement à penser que l'essentiel du problème n'est pas la GPA mais bel et bien l'homosexualité (qui, pourtant, elle aussi est vieille comme le monde, et pas seulement humain, pour le coup).
De toutes manières, comme je l'ai déjà dit plus haut, que l'on exploite la force de travail (muscles, cerveau ou ce que vous voulez) ne semble déranger personne. Sauf si cette force de travail se situe entre le nombril et les jambes. Etonnant, non ?

En tout cas, il m'étonne que personne n'ait encore parlé de "gestation pour le compte d'autre truie". Pourtant, elle est facile, celle-là...

Quant aux curés, je ne vois pas ce qu'ils viennent foutre dans cette histoire. Qu'ils continuent à essayer de se refaire une "virginité" (j'ai pas pu y résister...) en "vendant" leur nouveau curé en chef comme un paquet de lessive afin de mettre sous le tapis toutes les scories du passé et la "retraite" de leur ancien Oberstandfuhrer (orthographe non garantie...) si délicieux...

Enfin, cher Bertrand, le problème n'est même pas la "chrétienté", ce sont tous les dogmes, religieux ou autres. Tout ce qui commence par "j'ai raison, faites comme moi". Ca fait du boulot, de combattre tout ça...

Otto Naumme

Écrit par : Otto Naumme | 27.03.2013

Au fait, petite rectification : non, les dogmes ne sont même pas à combattre, ce serait une forme de dogmatisme en soi-même. Ils sont juste à ignorer.

Otto Naumme

Écrit par : Otto Naumme | 27.03.2013

Hé, oui, Otto ! ça fait tellement de boulot que je me suis déclaré trop feignant pour l'entreprendre. On crèvera tous dans le même monde qui nous a vu naître, celui du fric, du sabre et du goupillon.
Mais on ne peut, hélas - en ce qui me concerne - se résoudre à fermer nos gueules ! Pourtant y'a mieux à faire, comme vous le dites : ignorer. Mais ce n'est pas facile. Au risque de passer pour un vieux soixante huitard , je rappellerai ce graffiti célèbre :
"Comment penser librement à l'ombre d'une chapelle ?"
Et je mets derrière ce mot chapelle, toutes les chapelles, celles dédiées au délirant nazaréen comme celles où s'instruisent les lendemains chanteurs.

Derrière tout ce débat, oui, il y a l'idée deux fois séculaire et judéo-chrétienne du sexe. Presque de "comment il faut s'en servir pour rester honnête". Qu'on me passe cette trivialité !
Ce qui me révulse, c'est que tout ça est érigé en défense d'une morale qui a des milliards de fois prouvé qu'elle était assassine !
Le travail, vous le soulignez fort à propos, Otto, c'est d'abord de la prostitution. On peut vendre tout ce qu'on veut de son corps, de son temps, de son énergie. Tout. Sauf son cul.
C'est pourquoi aussi, la porte-parole de ce gouvernement de connards me révulse, elle qui a vendu le peu d'âme qu'elle avait à ses mentors.
Pute, va ! z'cusez-moi, ça m'a échappé.

Bien à Vous, cher Otto !

Écrit par : Bertrand | 27.03.2013

N'insultez pas les putes, cher Bertrand, ce sont des personnes tout à fait respectables, elles. Elles ne méritent pas d'être assimilées à cette porte-parole, une sorte de Tom (ben oui, Tom, égérie...). Elles valent bien mieux.

Otto Naumme

Écrit par : Otto Naumme | 27.03.2013

Effectivement, Otto. Elle ne vient pas à la cheville d'aucune d'entre elles. Je la hais, cette bonne femme !

Écrit par : Bertrand | 27.03.2013

Les commentaires sont fermés.