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13.06.2011

Publie net : un kolkhoze dans la pure tradition stalinienne

littératureAprès trois ans de silence sur l’état des téléchargements et autres, il a fallu deux heures tout au plus à François Bon pour me rayer de son catalogue.
J’en déduis, avec un certain contentement, que le bonhomme patelin est quand même très réactif quand il le veut et qu’il sait trancher d’un seul coup d’un seul le nœud gordien devant une situation qui l’embarrasse.
Une question  de trop ? Dehors, la racaille !
Je constate également la modernité progressiste, profondément humaine, du numérique par rapport au papier. Un coup de clic, hop, le livre n'existe plus.
Le Temps qu'il fait, lui, est quand même diablement plus honnête : il n'a pas proposé de jeter mes livres à la poubelle !
Quel fut donc mon crime pour être ainsi exclu du Kolkhoze ?

Mais que je dise préalablement, afin de n’être point lu dans l’amer, que je suis très satisfait de ne plus appartenir à cet amalgame sectaire et  silencieux, abusivement dénommé coopérative d’auteurs de littérature contemporaine au numérique.
Je pousserai même l’insolence à en remercier le patron...Le gérant, le directeur, le créateur, comme vous voulez.

Mon crime fut d’abord d’avoir réclamé - oui, réclamé, les mesquins vous mettant toujours dans une situation de mesquinerie - le droit de savoir le nombre de téléchargements effectués sur mes deux ouvrages : Chez Bonclou et Polska B dzisiaj.

Si quelqu’un trouve ma démarche illégitime, qu’il m'explique. Que je ne crève pas idiot.
Résultats : 5 pour l’un, 10 pour l’autre.
Le couac…Le couac, pour deux raisons :
- La première, c’est que je pourrais établir- il me faudrait leur autorisation et je ne l’aurai pas car la loi du silence est plus forte que ma grande gueule - une liste de quinze personnes, au moins, qui ont téléchargé Chez Bonclou en 2008.
- La seconde, c’est que, ne s’agirait-il là que d’une légère erreur de calcul, une distraction passagère  du gestionnaire débordé, quand un auteur se voit annoncer qu’il a vendu 5 livres en trois ans (Chez Bonclou), s’il lui reste un peu de jugeote sous les cheveux, il est quand même soumis à  une  terrible remise en question de son  savoir-faire ou de celui de son éditeur.

Le deuxième acte de mon crime de lèse-majesté fut d’avoir publié un texte qui remet en question la pratique similaire de deux de mes éditeurs, dont lui.
Mais, avant cette publication, François Bon, devançant le conflit, m’avait proposé de retirer mes ouvrages de son merdier, alors que je lui demandais s'il voyait un inconvénient à ce que je publie mes médiocres chiffres sur L'Exil... Le sommelier avait senti que le pinard était en train de virer vinaigre.
J'avais répondu : "fais ce que tu veux, je m'en fous !
"
Je vous laisse apprécier la logique démocratique de cet établissement : une coopérative d'où le coopérant est exclu s’il pose la moindre question après trois ans de silence.
J’imagine une coopérative vinicole où le vigneron est prié d’aller jeter son vin au ruisseau parce qu’il a demandé le nombre d’hectolitres qu’il avait fournis !
Il est donc temps de démasquer ce fonctionnement autoritaire, sournois, de l’entreprise Publie.net et de ramener le mot coopératif à sa juste noblesse.
A mon avis, tout silence a désormais  valeur de complicité frauduleuse. Et ça n’est pas très reluisant. Car ce silence fausse complètement les données de la parité et de la justice entre tous les éditeurs de littérature et les écrivains. Un auteur qui, par son silence, laisse croire qu’il perçoit la moitié du prix de vente de ses livres alors qu’il reçoit en fait peau de balle et balai de crin, est un voyou qui sape les autres auteurs et les  petits éditeurs traditionnels qui, eux, proposent 10 pour cent, bien peu, certes, mais qui les donnent réellement.
Comme est un voyou de la place publique, un auteur qui laisse son éditeur ( traditionnel) , lui bouffer la laine sur le dos, remettant le soin à des emmerdeurs de mon acabit de se griller pour eux.
Je l'ai déjà dit : la littérature est affaire d'hommes libres face au monde. Pas d'esclaves corrompus ! Que peut-il y avoir d'intéressant à lire un esclave qui tait son esclavage ?

Je n’invente rien. Je rends public un vécu.  D’ailleurs, l'escouade silencieuse des auteurs de Publie.net le sait  bien. Et moi, je sais les risques qui peuvent sanctionner ma franchise : se fâcher avec François Bon, c’est se fâcher avec tout le petit peuple qui gravite autour, au sein duquel peuple sont des gens éminemment sympathiques, pourtant.

Je n’avais pas, au départ, l’envie de me brouiller  avec François Bon. J'éprouvais pour lui du respect. Je l’ai croisé dans la cour du lycée, au tout début du bal. Mon objectif premier était de dénoncer clairement les choses telles qu’elles  faussent les rapports entre éditeurs et auteurs, rapports auxquels participe Publie.net, bien plus gravement encore que les autres éditeurs, puisque son fondateur les dénonce sans arrêt sur son site.
Pour mieux les pratiquer dans l’ombre.
Presque un  pompier pyromane.
Mais les réactions d’épicier du tenancier de cette boutique, m’ont déterminé à dire ce que je dis ici. Réactions humiliantes : le bonhomme me propose soudain 75 euros, comme à un clochard qui passerait par là et qui réclamerait sa soupe ! Il me somme de lui donner un  RIB et, fier, hautain, soudain étrangement scrupuleux, crie qu'il veut s'acquitter de sa dette.
Misérable. Pitoyable, tout ça.
Fasse que ma révolte l’incite désormais à plus de respect pour ses auteurs et plus de justice dans sa conception de ce qu’est véritablement  une coopérative !
Elle n'aura, alors, pas été vaine.

Une autre vie maintenant, bien meilleure, bien plus belle, attend Chez Bonclou et Polska B Dzisiaj.

Il y a, dans toute rupture, aussi pénible soit-elle, l’étincelle de nouveaux espoirs et le point de mire de nouveaux horizons.
D’autant que, dans mon cas, l’étincelle comme l’horizon étaient antérieurs à la révolte.

10:56 | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

Commentaires

plus pitié que colère, mais tu m'as explicitement demandé de ne plus être diffusé sur publie.net, c'était ton droit, par contrat signé, et je n'ai fait qu'obtempérer

les 76 euros correspondent à la somme exacte des téléchargements initiés par tes textes

merci que ce mail figure sous ce billet humiliant comme droit de réponse, bonne leçon pour moi

Écrit par : F Bon | 09.06.2011

plus pitié que colère : alors les mêmes et réciproques sentiments nous animent.

Écrit par : Bertrand | 09.06.2011

François Bon, grand champion de la transparence, réclame copie des mails que nous avons échangés. C'est son droit.
Je souscris donc à de si nobles sentiments donc. Pas une virgule de changée dans cette correspondance. Ai remplacé un nom propre par un X. C'est tout.
Et l'on voit bien que la proposition d'exclusion ne vient pas de moi. Même si elle me satisfait pleinement. Sait plus ce qu'il raconte, le gars Bon...

23 mai :
BR : Pris par l'urgence, je viens te demander s'il me revient quelque menue monnaie pour Chez Bonclou et Polska B.
Merci de me dire assez rapidement
A plus
FB : Bonclou 5 téléchargements payants (213 pages feuilletées par abonnement), Polska, 10 (42 pages feuilletées abonnement)...
Très représentatif nos limites.
Suis vraiment désolé.
Sais pas du tout si je vais continuer ni comment, on a tenté de faire le maximum.
BR :Hé ben !
FB : dur à vivre au quotidien.
Que les polars qui marchent (ça veut dire monter jusqu’à 100...)
FB : Tu as tenté les “missions Stendhal” au MAE ? – au moins que la carte de visite “Temps qu’il fait” serve à qq chose..
BR : Non, c'est pas bon. je ne séjourne pas à l'étranger, j'y habite, j'y ai mon domicile déclaré...Ou alors en France. Ce serait marrant.

_________________________________________________________________________________________
7 juin :
BR : Je suppose que tu ne vois pas d'inconvénients à ce que je publie bientôt sur "L'exil des mots" les chiffres que tu m'as donnés pour Chez Bonclou et Polska ?
FB : Je trouve pas ça très utile, j’ai plutôt l’esprit tourné à me battre. Si t’es sur autre plan de bataille, on peut aussi les retirer.
BR : Suis sur un autre champ de bataille, oui.
BR : Moi aussi, je vais me battre , François...J'aime ça...Pour mes bouquins, fais ce que tu veux. Je m'en fous
BR : (en réponse à la demande de RIB faite en commentaire sur L’Exil des mots ) Et que veux-tu faire d'un RIB ?
Un virement international te coutera plus cher que les maigres droits que j'ai pu acquérir.
Un chèque ? Plus d'un mois et demi pour l'honorer et taxé sur ma pomme à 2 pour cent.
Et je te répète : ceci n'est pas une histoire de gros sous !
FB : Je croyais que tu avais un compte en France. Le plus simple serait que tu ouvres un compte PayPal. Suis très mâché par ta réaction, ça passera. Vais recentrer tout ce bazar autour de mon boulot, je crois que j’ai fait grosse fausse route.
BR : Le fait que nous ne soyons plus d'acccord sur la conduite de ces affaires ne veut pas dire que tu as fait fausse route, François.
Moi, j'ai été mâché, blessé, humilié par la réaction de X, par exemple, et de ses écrivains à la noix, petits esclaves silencieux d'un consensus merdique. Que tu ne peux pas ignorer, François, depuis le temps que tu es dans le bain !
Je ne t'en veux pas. Je te respecte. Nous ne sommes plus d'accord de comment tout ça s'articule. Et je ne veux pas crever dans le silence.

FB : Merci de prendre 5 minutes pour créer compte PayPal... C’est nécessaire.
BR : Non. Je ne vais pas me faire chier avec ça ! En plus !
FB : J’ai environ 75 euros à te verser, tu les réclames sur ton site, alors je te prie instamment de me donner moyen de m’acquitter de ma dette.
BR : "tu les réclames sur ton site" mais tu te fous de moi !
Je te répète que ça n'est pas une affaire de sous, merde ! Et tu le sais, tu fais l'autruche !
Et puis, quelle frénésie à vouloir s'acquitter d'une dette après l'avoir ignorée pendant tout ce temps, notamment à mon dernier mail.
Mais si tu veux la jouer comme ça, voilà mes coordonnées bancaires en Pologne :
XXXXXXX
FB : Merci

Écrit par : Bertrand | 09.06.2011

Bertrand, pour avoir lu à l'époque les protocoles sur les textes des auteurs édités à Publie.Net, il était dit qu'à tout moment un texte pouvait devenir édition papier et était alors aussitôt retiré de Publie.Net. Tu ne peux pas être édité chez deux éditeurs en même temps pour le même texte.
Donc mon interprétation des mails donnés à lire, est la suivante : François te propose de "libérer" tes textes pour que tu puisses les faire éditer ailleurs. C'est ça que ça veut dire, à mon avis, "si tu es sur un autre plan de bataille". Et tu as répondu que oui tu étais sur un autre champ de bataille.
Quant à tes deux textes, pour ce qui me concerne, j'ai payé le téléchargement de Bonclou (1er téléchargement d'un texte, historique pour nous tous) et pour Polska B Dzisiaj, c'est un abonnement qui m'y a donné accès.

Tant que j'y suis sur les "interprétations", une lecture n'est que cela, interprétation, traduction, quand François Bon disait la reconnaissance de Publie.Net aux premiers auteurs qui avaient confié leurs textes, je pense, moi, que tu y étais inclus et que tu t'es foutu en rogne pour rien.

Écrit par : Michèle (Pambrun) | 09.06.2011

"En numérique, c’est une autre histoire : vous ne savez jamais rien. Sinon, pour ce qui me concerne et sur ma demande, quelques exemplaires vendus en trois ans …Si c’est là la bonne voie, salut ! Je préfère suivre d’autres pistes. Adieu numérique illusoire !"

il me semble que la demande était claire ?

en tout cas, c'est ferme et définitif, et le nombre d'heures qu'on y a passées ne valait pas l'insulte

après, ça commence à frôler la diffamation et c'est un autre terrain

Écrit par : FB | 09.06.2011

Depuis trois ans que tu fréquentes ce blog, même si tu ne le fréquentes plus, c'est une des premières fois que tu prends la peine de préciser ton patronyme.
Tu avais peur que François Bon ne te reconnaisse pas ?

Cette interprétation qui assimile "champ de bataille" a "projet d'édition" est on ne peut plus fantaisiste et d'un raccourci fulgurant. Eu égard, à l'échange de mails du 23 mai, nous n'étions pas dans cet esprit-là.En tout cas, ça n'est pas assez explicite pour supprimer deux livres d'un catalogue dans la demie-heure qui suit.
Cette suppresion était passionnelle et vindicative. PoinT.
Peu importe à vrai dire parce que, de toutes façons, j'aurais demandé cette suppression plus clairement ultérieurement..J'ajoute ici que j'ai copié/collé les mails sur demande de FB. La manoeuvre me répugne néanmoins.
Le débat portait pour moi sur le fait que de 2008 à 2011, je n'ai reçu aucune information sur les téléchargements. Il est là le noeud et le scandale quand on prétend être dans un esprit coopératif.
Et ça,tu ne peux ni le comprendre, ni le savoir si je ne te le dis pas, là, en ce moment, et si je ne l'avais pas écrit noir sur blanc dans mes deux textes. Parce que personne d'autre n'ira te le dire à ma place.
C'est cela que je voulais indexer et François Bon a tout de suite placé le débat au niveau des sous.
A un niveau qui ne m'intéresse pas.
En revanche, oui, je suis d'accord quand tu dis "quand François Bon disait la reconnaissance de Publie.Net aux premiers auteurs qui avaient confié leurs textes, je pense, moi, que tu y étais inclus et que tu t'es foutu en rogne pour rien."

Mais ça n'est qu'un point sur lequel je me suis mis en rogne.

François Bon, tes menaces à peine déguisées de t'aller plaindre aux chats fourrés pour diffamation ne m'effraient pas.
En aucun cas, je n'ai dit ici quelque chose qui révélerait de la volonté délibérée de salir une réputation avec des éléments mensongers.
Tout ce que j'ai dit là relève de la réalité.Tu as été prompt à supprimer mes livres, tu as bien fait, mais tu ne les as supprimés que sur interprétation, pas sur demande exprimée clairement de ma part et tel que le stipule une des clauses de ton fameux contrat...
Je note par ailleurs que tu ne fais écho qu'au seul commentaire qui te soit favorable
"en tout cas, c'est ferme et définitif," nous sommes au moins d'accord sur un point essentiel.
Débat clos en ce qui me concerne

Écrit par : Bertrand | 09.06.2011

Cette suppression n'est ni passionnelle ni vindicative, elle est purement tactique : Il est de bon aloi de se débarrasser de ses contradicteurs et la meilleure façon d'y procéder consiste à s'acquitter de sa dette pour se délier (nous rappelons qu'un contrat lie deux parties entre elles). Alors... de là à faire passer un plan de bataille pour un matelas rembourré de bonnes intentions, il y a un pas à franchir, un grand pas !

On note dans cet échange que la reddition des comptes sur trois ans ne se produit que sur réclamation, et qu'elle est remise sans le moindre détail annuel.
Oui, comme l'écrivait F. Bon, «il y aurait peut-être eu d'autres manières de dialoguer», encore fallait-il l'établir ce dialogue, autrement qu'en poussant les auteurs à réclamer l'état de leurs ventes pour quelque raison que ce soit, fût-ce celle de savoir si leur ouvrage rencontre un succès. Ce pourrait être stimulant, ça, pour l'auteur, non ?

Bref, une coopérative qui pour innovante qu'elle se prétend être, innove dans un nouveau mode d'exploitation : la galvanisation de ses auteurs coopérants par le leurre. Ne lisait-on pas jusqu'à récemment que le fructus de Publie.net était prospère et qu'il fallait juste l'arroser pour y croire ? Y croire, oui, pourquoi pas, mais pas « faire accroire ». Et forcément, quand on ne rend pas ses comptes annuels à ses auteurs, rétrospectivement, à plus trois ans, on regarde les choses différemment et l'on se met à songer que ça manquait de franchise tout ça.

Et même si l'on se fiche de la légitimité, la considération minimale d'un auteur impose qu'on l'informe de la vie de son ouvrage. Il y a un formidable rapport de confiance de l'auteur envers son éditeur : la preuve? : quel moyen a l'auteur de vérifier le nombre de téléchargements ou de livres vendus ? Bafouer cette confiance ne fait pas honneur à la littérature et encore moins à la création, il est bien là le poinT.

Écrit par : ArD | 09.06.2011

ArD,ce qui me réjouit ce matin avec la teneur de votre commentaire, c'est de constater qu'il y a encore des gens honnêtes sur la toile. Des gens qui appellent un chat un chat et ne cherchent pas à piper les dés par interprétation et pour ne pas avoir à dire et constater l'évidence.
Merci pour ça. C'est exactement ce que j'essaie de dire.
L'Exil des mots est peut-être un blog " en rogne", un blog qui se trompe parfois, mais c'est un blog debout. Et propre sur lui.

Écrit par : Bertrand | 10.06.2011

Les cheffaillons finissent fatalement par se trahir.

Ce qui compte, c’est, avec ou sans douleur (en général, on n’a pas le choix, c’est « avec » ; -) ce qui compte, c’est la révélation de la vérité.
Vlan.
& deux citations pour le prix d’une (vite un R.I.B. !) et pour la route :

René Char :
« La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil. »

Et Orwell-Blair :
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »

Et même trois, tiens !
« Hélas, donc en avant ! » (Wladimir Jankelevitch)

Écrit par : Karl-Groucho | 10.06.2011

Joli florilège ! Et la première citation, la vôtre, n'est pas à dédaigner non plus. Une évidence

Écrit par : Bertrand | 12.06.2011

Vous avez raison, il est salutaire de ne pas se taire. merci.
D'autant que je mesure le courage que ça représente et ce que ça coûte. Être mis hors d'un cercle où on se croyait chez soi, se faire lâcher par ses "amis" parce qu'on pose La question qu'il ne fallait pas.
Je suivais depuis ma connexion l'aventure de publie-net avec perplexité et quelques questions auxquelles j'ai une réponse aujourd'hui, et pas seulement par vos articles mais surtout par le mode des réponses qui vous ont été faites par le maître lui-même.

Écrit par : Marité de Vos | 13.06.2011

Quelque chose à rappeller et qui je pense met les choses en perspective: l'affirmation répétée ne faisant pas d'un mensonge une vérité, François Bon a beau s'égosiller à dire que publie.net est une coopérative d'auteurs, légalement c'est François Bon S.A.R.L. (cf http://www.publie.net/fr/statique/contact).

S'il croyait à ce qu'il dit il aurait mis en place un statut de coopérative ce qui aurait pour effet d'impliquer les auteurs dans les décisions, mais c'est tellement mieux d'avoir ce discours tout en restant seul maître à bord et n'avoir aucun compte à rendre.

Écrit par : Précisionnaire | 13.06.2011

Un vent d'indignité se lèverait-il sur le net ?
-> http://blog.web-book-edition.com/?p=167

Écrit par : Salaber | 14.06.2011

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