28.09.2012
Marc Robine, La mémoire et la mer
... cette voix éraillée, légèrement cassée, au service d'un poème magnifique
13:46 Publié dans Acompte d'auteur, Musique et poésie | Lien permanent | Commentaires (3) | 
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... cette voix éraillée, légèrement cassée, au service d'un poème magnifique
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Commentaires
Y a rien à faire, j'ai un peu de mal à ne pas rire (n'y voyez pas offense, surtout...)
Écrit par : Alfonse | 28.09.2012
S'il y avait offense, elle ne serait pas dans l'envie de rire ( chacun a le droit de rire ce qui le fait rire), mais plutôt dans le soin que vous me laissez d'interpréter le sens de cette incoercible hilarité. Car j'aimerais bien en connaître les causes. C'est ça qui serait intéressant, un peu. Puisque vous rendez publique votre envie, gratifiez-nous au moins de ses origines
Je vous écoute...
Écrit par : Bertrand | 01.10.2012
Oh, ça ne p... ra pas loin comme justification, c'est parce que le Monsieur a l'air de pleurer et j'ai du mal avec les hommes qui pleurent (et avec les femmes aussi d'ailleurs). Je vais essayer de corriger ça, car tout le monde pleure à un moment ou à un autre, et ça me pend au bout du nez, un jour je pleurerai aussi. Alors je les comprendrai mieux. Pas vrai ?
Écrit par : Alfonse | 01.10.2012
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