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14.06.2012

Echo

3967723833.jpgJ’aime beaucoup ce que Pascal Adam fait de ce qu’il aurait éventuellement à dire…
J’en aime le détachement sympathique, plus ou moins teinté de cynisme. Au sens Diogène et son fameux tonneau. Ou, plus exactement,  au sens tonneau et son fameux Diogène.
Ce petit texte, par exemple,  sur la viduité de l'actualité du monde est exquis et en quelques mots seulement.
Or, comment être expressif en disant le vide ?
C’est bien là tout le charme incisif de certaines pages de Pascal Adam qui fait donc mentir l’adage : si ce que tu as à dire est moins beau que le silence, tais-toi !
Et c’est tant mieux car rien n’est guère plus inhumain que des hommes privés de leurs mots et de leurs voix.
Alors, puisque le monde n’a plus qu’une parole muette, tant au niveau de sa politique que de son art, que de sa culture et que de son éthique - tout ceci ne constituant, en fait, qu’un seul niveau où ces notions sont des voisines de palier - devrions-nous pour autant la boucler ? C'est-à-dire parapher la victoire du silence qu'une muette actualité nous imposerait ?
Il est vrai aussi que, si on tient vraiment à faire du silence exponentiel, de la surenchère existentielle, on peut photographier son chat, ses bouquets de fleurs, son mur de salle de bain, sa machine à laver, au pire son cul, et appeler les gens à commenter cette actualité-là, n'est-ce pas ?
Mais ça tiendrait plus du cri de désespoir que de la reconquête de la parole et, tout détaché qu'il soit, Pascal Adam ne me semble pas être aux prises avec les sombres tentacules du désespoir.
Nous n’avons donc plus grand-chose à dire sur le monde qui nous entoure, et c'est là que je rejoins totalement ce petit texte de Théatrum Mundi. Mais c’est précisément parce que ce monde nous entoure que son vain brouhaha nous est insipide, quand il ne nous est pas insupportable. Il nous entoure un peu comme la forêt entoure la clairière.
La cerne.
Est-ce qu’une clairière fait partie de la forêt et peut-elle avoir une actualité différente
de cette forêt ? Autonome ?
Une clairière est-elle censée épouser les humeurs de la forêt ? Est-ce qu’une clairière perd ses feuilles à l’automne, a la même couverture végétale au sol que le sous-bois, abrite la même faune, reçoit pareillement le soleil  ?
Par définition, non.
Mais trêve du filage de métaphore ! Un monde sans actualité ne devrait pas priver les individus de leur actualité.
Que chacun, dans son monde, développe son actualité sans copier/coller celle atone du monde, et le bruit de la clairière finira bien par étouffer le silence de la forêt.

Retour obstiné de la métaphore cependant :
Le gros hic, l’énorme hic, le gigantesque hic, c’est que si vous vous armez de redoutables tronçonneuses et que vous supprimez la forêt, vous supprimez du même coup la clairière.
Sans rien changer de son initial aspect. Sans toucher un seul brin d'herbe, une seule fleur, une seule motte, un seul insecte de son existence.
Parce que vous en supprimez le repère.
La définition.

13:29 Publié dans Acompte d'auteur | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

Commentaires

Ah mais le premier mot qui me vient à l'esprit pour qualifier son style, c'est la « dérision ». On oublie qu'elle peut être très incisive, car elle chapeaute le mépris.
__
En cherchant « viduité » par scrupule, je découvre que son sens vieilli est le veuvage : ça alors !

Écrit par : ArD | 14.06.2012

Scrupule scrupuleux, ArD (!) C'est même le premier sens, en droit. Passant- brillamment et avec modestie- il y a une vingtaine d'années, un concours de la fonction publique territoriale j'avais eu à avaler des centaines de pages de droit civil, parmi lesquelles le fameux "délai de viduité" de 300 jours exigé pour qu'il soit légalement permis à une veuve de se remarier... Au cas où le défunt aurait subrepticement et joyeusement semé une graine, juste avant de tirer sa révérence au vaste monde. C'est passionnant le droit civil et suspicieux comme tout(!) Ça fouine dans le moindre recoin.
Certains dictionnaires considèrent que le mot pris dans l'acception donnée ici est un emploi abusif. Pas moi, et bien d'autres avant moi - dont Flaubert et Stendhal - cette fois-ci toute modestie vraiment gardée.
Je trouve que le mot est plus fin, plus joli même, que "vacuité". Moins physique.

Écrit par : Bertrand | 15.06.2012

Conseiller à quelqu'un d'aller voir un psychanalyste est une licence que je ne me permets qu'en direction de ceux qui prétendent écrire, combattre la vulgarité de quelques mots. Je vous y encourage donc, Bertrand, ne serait-ce que pour soigner le vilain fond de misogynie par trop voyant de votre prose donneuse de leçons (si encore vous étiez professeur!).
En l'espèce, celui qui parle du cul des autres, Bertrand, c'est vous.

Écrit par : tanguy | 16.06.2012

Prose donneuse de leçons ? Mais vous êtes complètement parano, mon pauvre gars ! Petit professeur socialisto-catho, peut-être est-ce là une déformation de votre aliénation salariale, que de lire partout des leçons.
Quant aux autres points de votre affligeant commentaire, je pourrais les démolir méthodiquement tant ils sont niais et gratuits, mais je suis vraiment las de discuter avec les abrutis.
Passez donc votre chemin et, finalement, soyez quand même assuré qu'il m'est très agréable de fortement déplaire à des comédiens de votre tonneau.

Écrit par : Bertrand | 18.06.2012

Sage conduite, Bertrand, que de ne pas répondre plus avant. Car vous n’empêcheriez pas pour autant la malveillance des petits prétentieux de s'exprimer.
Continuez donc de tailler votre route comme vous le faites depuis le début et nous aurons toujours plaisir à vous lire.

Écrit par : Georges | 18.06.2012

Je taille, je taille... Je ne sais trop quoi, mais je taille.
Merci.

Écrit par : Bertrand | 18.06.2012

Parano ? Vous pensez que je me serais senti visé ? Étrange. Vous ne donniez pas de leçons ? Mea culpa, j'ai cru que vous expliquiez ce qu'il faut écrire et ce qu'il ne faut pas écrire. Que vous donniez les bons et les mauvais points, "remarques de pion" comme dit l'autre.
Je cherche aussi désespérément ce qui dans mon commentaire trahit en moi le socialisto-catho (sic!). C'est une obsession chez vous, Bertrand, des catho partout, des papes, ah brrrr, maudits papimanes, papistes, décrétalistes du diable !
Surtout n’hésitez pas à démolir la gratuité de mes remarques. (retenez moi les gars où je "démolis méthodiquement" ses affligeants commentaire niais et gratuits!)
Salarialement vôtre (mais dites carrément "fonctionnaire", tenez, ça ne me dérange pas du tout, au contraire, et puis visiblement ça démange votre fond de gamelle poujadiste.)

Écrit par : Tanguy | 18.06.2012

Finalement, vous êtes un analyste, Tanguy, vous mériteriez mieux que la pâle ambiance d'une salle de profs. Vous faudrait un cabinet avec divan et lumière tamisée, car me voilà maintenant, selon les résultats de vos brillantes et lapidaires cogitations, obsédé par les curés... J'espère que la consultation est gratuite parce que ça ne vole pas très haut dans le ciel tout ça et ça ne me fait pas avancer d'un poil sur le chemin de la quiétude. Je ne suis donc pas obsédé par les curés, ni par leur pape, je suis simplement ahuri - sans que cela n'obstrue vraiment mon chemin - qu'après 2012 ans de manipulation grossière des esprits, il se trouve encore des hommes censés ne pas être fous pour leur donner crédit.
Vous me direz qu'on peut avoir la foi "sans se coucher à l'ombre de l'Institution"... Bien sûr.
Mais soyons plus prosaïques, si j'ose. Je vous explique, je vous donne la leçon, si vous préférez, car vous me semblez ne pas avoir compris grand chose à ce petit texte.
Il se trouve donc que je lis régulièrement Pascal Adam. Que j'aime bien ce qu'il fait. Son texte " Vulgarité" m'avait inspiré ces quelques modestes réflexions, non pas pour signifier que c'est comme ça qu'il faut dire ( vous me prenez vraiment pour un corniaud !), mais pour dire quel prolongement les quelques phrases de Théatrum Mundi avaient trouvé chez moi, sans jugement, sans critique négative ou positive, simplement écho très personnel d'une lecture rapide d'un texte ouvert au public.
C'est tout.
Mais vous aviez sans doute, pour d'autres raisons que j'ai l'heur d'ignorer, envie de me rentrer dedans - ce qui se peut plaisamment concevoir - et vous avez enfourché n'importe quel cheval pour ce faire.
Et cet aveuglement vous conduit à émettre des inepties qui ne plaident guère en faveur de votre sens des réalités et de votre savoir-lire, ce qui est quand même dramatique de la part d'un gars qui se fait payer pour enseigner : je vous renvoie donc avec violence et malveillance la gamelle poujadiste, toute pleine encore de votre insulte - je n'y ai pas touché - en pleine gueule !

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

Merci. Vous confirmez mes propos. De même que votre dernier billet. "Je ne suis pas misogyne : voyez, je lis Anna Karénine!" (pour énoncer une banalité de plus sur la lecture des "grands livres", était-ce bien utile ? Tenez, je dirai que ce n'était pas inutile, pour la toute première trouvaille que je lis sous votre plume : "[la] façon gigantesque de procéder" de Tolstoï, grand prince, je vous accorde que j'aurais pu tirer gloriole d'une telle formule...)

Allez, c'est vrai que dans votre cas, n'importe qui pourrait être analyste. Mais j'aime trop railler. J'en parlerai à mon analyste.

En attendant, relisez bien attentivement votre très dispensable billet d'Echo, cherchez ensuite si votre inconscient ne vous y a pas joué un tour qui fait prendre à votre billet un tour bien inélégant et en réalité peu à propos. Vous trouverez.

En guise de ponctuée.

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

Allez une petite démonsgtration, relisez votre 1er paragraphe :
"Finalement, vous êtes un analyste, Tanguy, vous mériteriez mieux que la pâle ambiance d'une salle de profs. Vous faudrait un cabinet avec divan et lumière tamisée, car me voilà maintenant, selon les résultats de vos brillantes et lapidaires cogitations, obsédé par les curés... J'espère que la consultation est gratuite parce que ça ne vole pas très haut dans le ciel tout ça et ça ne me fait pas avancer d'un poil sur le chemin de la quiétude. Je ne suis donc pas obsédé par les curés, ni par leur pape, je suis simplement ahuri - sans que cela n'obstrue vraiment mon chemin - qu'après 2012 ans de manipulation grossière des esprits, il se trouve encore des hommes censés ne pas être fous pour leur donner crédit."

Merveilleux, vraiment. On ne sait d'où sortent ces curés auxquels vous revenez sans cesse et qu'il ne me semblait pas avoir d'abord évoqué. En avais-je seulement parlé ?

Mais tout ce qu'il y a à dire, c'est vous qui le dites dans votre "incise" : "sans que cela n'obstrue vraiment mon chemin" --> ma foi (si j'ose dire), je n'en doute pas!

Et ainsi de suite, pour le "salariat", et, en remontant, ce fond de misogynie rance qui vous échappe mais n'échappe pas à qui voudra bien lire votre aimable prose.

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

Et pour poursuivre l'analyse, en raclant encore un peu ce fond de gamelle poujadiste, qui vous est visiblement difficile à assumer :

"(...) de la part d'un gars qui se fait payer pour enseigner"

Oui, je me fais payer pour enseigner. Mais je vous livre ce début d'analyse à titre gracieux, ainsi que vous sembliez le réclamer : "J'espère que la consultation est gratuite".

Elle l'est. A bientôt Bertrand.

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

A votre premier commentaire, vous m'avez mis en pétard. Là, avec votre salve frénetique, vous me faites rire.
Car vous êtes vraiment un rigolo, Tanguy... Mon fond de misogynie...Vous n'expliquez rien. Vous y allez franco de vos préjugés à la ramasse, tout cuits, vieux comme le monde. Et puis, je vais vous dire une chose, Tanguy, je vais vous donner la leçon : je ne vois toujours pas ce qui vous fait dire que j'ai un fond de misogynie, mais quand bien même cela serait-il, qu'en auriez-vous à foutre, dites-moi ? Vous êtes le gardien d'un code de bonne conduite ?
Côté ridicule, niais : je parlerais d'Anna Karénine pour faire voir que je ne suis pas misogyne... Mais vous êtes quoi, au juste, tout petit Tanguy : un imbécile fini ou un mec bourré de mauvaise foi ? Les deux peut-être..
Bon, disons que si je suis misogyne, ma foi, ça me fait une nouvelle pancarte, après tout. Pour l'instant aucune femme ne s'en est plainte, mais bon, peut-être qu'elle sont trop connes pour identifier un misogyne (!)
Par contre, en vous, je me demande bien ce qu'elles identifient... Y'a pas plus névrosé qu'un chercheur de névroses et pas plus misogyne qu'un gars qui se fait l'avocat des femmes. Comme si elles avaient besoin d'avocat !

Pour les curés, certes, vous n'en avez pas parlé.. Je concède que je me suis appuyé là sur votre "foi déclarée" dans votre auto-portrait sur votre blog.

Enfin, Tanguy, votre parano vous rend vraiment con. Quand je dis " se faire payer", vous voyez une critique du fonctionnaire et vous montez sur vos ergots ( que vous devez avoir frêles et vindicatifs) alors qu'il y a là une aversion pour toute forme de salariat.
Mais ça, vous comprendrez quand vous serez grand (!)

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

Ah, j'ai oublié de vous signaler, z'cusez-moi : z'avez vu le portail Hautetfort ? Z'avez vu les mecs (j'crois qu'il y a aussi une femme, zut !), les vrais, les grands, qui y sont mis à la UNE, parce qu'ils ont des beaux blogs, éloquents, intelligents, pointus ? Z'avez pas vu ?
Tralala tralala tralalère tralalère..

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

"alors qu'il y a là une aversion pour toute forme de salariat."

C'est bien où je voulais en venir. Ou vous faire venir. J'approuverais si vous viviez de l'aumône et en étiez fier - j'admirerai, même. Mais comme ce n'est pas le cas...

Pour le reste, poursuivez l'analyse, Bertrand, car évidemment ce n'est pas celui qu est assis qui fait l'analyse, mais l'autre.

De mon côté, je vous abandonne à votre misogynie, dont je ne me plains pas mais à laquelle je reproche d'être inélégante. Et j'attire maintenant votre attention sur ce dont il est selon vous permis de parler sur des blogues, et ce qu'il ne faudrait pas photographier. Pour ma part je trouve bien moins obscène la photographie d'une machine à laver ou d'un chat que la "photographie" complaisante sur les pages de votre blogue des pages de vos "oeuvres", démarche en réalité bien plus narcissique que celle qui consisterait à photographier sa machine à laver, son chat, ou même, pour reprendre vos propos farcis d'élégance... "son cul".
A fortiori quand on enrôle un autre au service du dénigrement anonyme que l'on mène - si vous pensiez à quelqu'un, il ne fallait pas hésiter pour le ou la nommer, cher ami.

Bref, il s'agit moins de morale que d'esthétisme. Vous vous targuez ici de "causer beau", soumettant votre prose au regards et jugements, je me permets d'en juger. Et me fiche bien du crédit que vous porterez à mes remarques. Car je ne fais nullement cela par charité, mais seulement pour ne pas laisser en moi mariner trop du plus infime ressentiment.

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

Ah, le pauvre garçon, qui ne veut pas en lui laisser mariner du ressentiment !
Quant au salariat, jeune prétentieux, comment pouvez-vous savoir de quoi je vis et de quoi j'ai vécu ? De trucs que vous n'aurez jamais le courage d'aborder, alors, claquez un peu votre bec, Tanguy. Vous partez là vers des zones où vous ne foutrez jamais le bout de votre chaussure...

"A fortiori quand on enrôle un autre au service du dénigrement anonyme que l'on mène - si vous pensiez à quelqu'un, il ne fallait pas hésiter pour le ou la nommer, cher ami."
Outre le fait que je ne suis ni votre ami, ni votre cher, je vous confirme par cette citation votre parano dangereuse et votre lecture déviante. Je n'ai enrôlé personne et n'ai pensé à personne de précis. Mais maintenant je comprends mieux votre invective. Pauvre garçon, quand même !

S'agissant des couvertures de mes quelques livres, il s'agit simplement de faire savoir, d'inviter à lire, ce qui me paraît tout à fait sain quand on écrit.. Évidemment, vous, Tanguy, vous pouvez toujours afficher une page blanche dans la marge de votre blog.. Vous avez le droit et ça vous dépeindrait bien.

Enfin à propos de narcissisme, petit mec, je lis chez vous, dans votre auto portrait :

"J'ai caressé un temps le désir d'écrire en pensant avec ma modestie coutumière que ce pouvait être un moyen de trouver autre chose que l'encombrement de m... de rigueur au rayon "Nouveautés" des librairies.

Intérêts :

littérature, enseignement, amour, transmission, foi"

Hé ben dites donc, comme expression banale - mais qui se voudrait désinvolte - du narcissique, je ne sais pas si j'ai déjà trouvé mieux !
Et que dire des intérêts ? A chier.. Bateaux, nuls, passe-partout, insipides... Les intérêts d'un mec inintéressant, quoi...
Mais foutez-moi donc la paix, Tanguy. Vous êtes ridicule. Et même pire.
PS : le mot charité dans votre bouche a des relents fétides...Mais ça, vous devez le savoir.

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

Betrand, je me fiche de comme vous vivez, vraiment. Il y a le mépris suintant de votre prose merdeuse, le reste vous appartient. Et le déferlement de votre mépris et de votre haine dans vos derniers commentaires montrent assez à quel point mes critiques ont touché juste. Le mot charité est beau dans toute bouche, mais justement je me le refuse définitivement notamment à votre endroit. Je ne suis pas sûr que vous soyez à même de comprendre cela - et bien d'autres mystères.

Sur ce je vous "fous la paix", puisque vous le demandez. Quant à moi je ne vous demande rien, vous êtes à mon sens trop médiocre.

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

PS: Vous faites erreur, une de plus, je ne parlais pas des couvertures de vos livres mais bien des pages que vous "photocopiez" sur votre blogue, cette auto-citation merveilleuse de cuistre. Admirable. A cet instant je ne peux que croire en l'existence divine, nécessairement.
Bonne journée à vous, écrivain en marge de la société, Thoreau des forêts polonaises, à vous et à votre jolie guitare (se faire prendre - si j'ose dire - en photo avec sa guitare, à votre âge, quelle coquetterie !) Je m'imagine me faire photographier en train d'écrire, vraiment je préfère de beaucoup montrer mon cul!

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

Je vois que j'ai pas mal visé non plus,car, au niveau de l’inflation galopante de l'insulte, je suis battu par votre dernier commentaire.
Je termine donc comme j'avais dit dans ma première réponse : il m'est très agréable de fortement déplaire à des comédiens de votre tonneau.
Vous avez voulu faire le malin en prenant la défense de quelqu'un dont j'ignore même l'existence et que, donc, je ne pouvais dénigrer, et, comme tous les petits Zorro qui se trimballent misérablement dans leur imaginaire débile, vous avez dérapé dans le ridicule.
Allez, bon vent quand même, Tanguy !
Y'a pas mort d'homme !

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

Et gnagnagni et gnagnagna. Parlez de l'imaginaire des autres et invoquer "Zorro", on se pince ! Je vous le redis, je ne cherche pas à vous soigner, Bertrand. Ça c'est votre problème.

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

"parler" (avant que vous ne veniez ne me faire la leçon!)

Écrit par : Tanguy | 19.06.2012

Je n'avais pas vu votre PS : Mais de quelles pages parlez-vous donc ? Vous avez la berlue ? Vous buvez trop ? La haine vous aveugle ?
je n'ai jamais photocopié ici la moindre page de mes "œuvres" comme vous dites.
Guitare et photo : Ben oui,je joue de la guitare et cette photo, je la trouve plus belle que votre profil de pubère frustré-demeuré... Vous faire prendre en photo en train d'écrire ? Ce serait une supercherie : vous ne savez pas écrire.

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

Alors, t'abandonnes, freluquet ? T'as plus rien dans l'buffet ?
Pffft...P'tit joueur, va !

Écrit par : Bertrand | 19.06.2012

Zut, vous faites pipi plus loin, bravo Bertrand, mes respects.

Écrit par : tanguy | 19.06.2012

Epatant!

Écrit par : christian | 21.06.2012

Putain, je suis mort de rire devant cette petite dispute de deux minus habens qui se croient les meilleurs du monde, l'un prof bien-pensant, à la gueule de prépubère, puéril et arrogant ; l'autre, misanthrope, capable de sortir un langage de charretier. Il faut vous renvoyer dos à dos, vous vous prenez pour des seigneurs, des princes, des messies... Vous n'êtes que des êtres de mépris, de haine et de prétention.

Écrit par : Willy | 23.06.2012

Et toi, pauvre mec, un courageux anonyme... Un corvidé. Nous, au moins, on signe notre connerie.

Écrit par : Bertrand | 24.06.2012

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