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31.03.2010

Erreurs d'aiguillage : attention un bonhomme peut en cacher un autre !

paray-trains_20060426_192350.jpgSi on n'a vraiment rien à faire, mais alors là vraiment rien, que l'après-midi s'étire comme un long et noir corbillard, qu'on s'ennuie terriblement devant son ordinateur, qu'il pleut, qu'il fait froid ou qu'il vente et qu'on ne peut décemment pas batifoler au jardin, qu'on est peut-être fâché avec sa compagne ou son compagnon, que sais-je encore, alors il peut arriver, je dis bien "il peut", qu'on tape sur Google «Bertrand Redonnet.»
Rien de grave là-dedans.
On trouvera alors des mots en leur exil, des commentaires sur tiers-livre ou d'autres sites amis, on trouvera Publie.net, Chez Bonclou, Polska B dzisiaj, Zozo éperdument chômeur, des critiques de ces trois livres, Brassens et son érudition et... tout récemment, Géographiques, la critique de Nauher, mais très loin, très loin.
On en est déjà à la page je ne sais plus combien.

Si, en revanche, comme je l'ai fait - oui, je l'ai fait, misérable Narcisse qui voulais voir si ce « Géographiques » trouvait quelque écho sur des sites que je ne connais pas - on affine sa recherche par « Redonnet Géographiques », là on s'y perd un peu. Normal. Il est un peu tôt.
On trouve quand même Nauher en première page et ça m'a bien fait plaisir.
Soit-dit en passant, il y a un site de vente directe, je ne sais plus lequel, et c'est bien parce que je ne veux point lui faire du tort, qui classe mon livre dans « Dictionnaires, atlas, voyages... »
Glups !
Vont être contents les gens qui vont l'acheter sans lire la quatrième, si ça existe, des gens comme ça.
Toute proportion gardée, ça me rappelle ce film où je n'avais rien compris mais à la séance duquel un ami cinéphile m'avait traîné en me tirant par la manche, à Paris : « L'angoisse du gardien de but avant le penalty ».
Au fur et à mesure que défilaient les images et que lambinait un ésotérique scénario, la salle se vidait avec des brouhahas sourds et des mouvements d'humeur non contrôlés...Il n'y avait pas un traître mot de football dans ce merdier et nous nous sommes retrouvés, mon ami et moi,  à deux dans cette salle !
Mais revenons à nos moutons.
Ce que je voulais dire, c'est qu'avec "Redonnet Géographiques" on trouve surtout ça, et  que ça ne m'a pas fait rigoler du tout, du tout, du tout...
C'est quand même pas de pot, un Bertrand Redonnet qui s'occupe (ou s'occupait ) du trafic de drogue, justement en Pologne !
Et c'est comme ça, ma foi, qu'on ramasse un coup ou une balle perdue...

Donc, pas d'affolement. Je tenais à vous prévenir qu'en 2001, je n'avais pas encore mis les pieds en Pologne...Au cas où, par  un après-midi gris, avec du vent, de la pluie, et une brouille (que j'espère passagère) avec votre compagne ou compagnon, vous auriez cette idée saugrenue et qui ne sert à rien.
Me rappelle quand François Bon, victime d'une fâcheuse homonymie, avait été élu en 2008, photo à l'appui, au Conseil général de Vendée.
Il avait été content, le p'tit père François,  promu en conseiller général  !

Il avait bougonné dur....

Moi, ça m'avait bien fait rire, cette histoire. Parce que François Bon, l'autre, le vrai conseiller général, c'était mon supérieur hiérarchique à Niort. On était devenu des copains et, en venant à parler  de littérature et de François, l'autre, le vrai écrivain,  il m'avait raconté que déjà, attaché culturel à l'ambassade de France en Norvège, une belle dame était venue un jour le féliciter pour son livre. Je ne sais plus lequel.

C'est à lui que j'avais dit un jour : Putain, t'es sympa, t'es pas bête, t'es pas méchant, qu'est-ce que tu fous à droite ?

12:13 Publié dans Acompte d'auteur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature |  Facebook | Bertrand REDONNET

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